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jeudi 2 février 2012

Des questions, toujours des questions...

Qu’est-ce qu’on peut se poser comme questions, on pense projet, on vit projet et même la nuit ça nous trotte dans la tête surtout quand un bébé nous réveille la nuit… mais ça c’est une autre histoire…

Quelle clientèle cibler ?
Parce que mine de rien, ça conditionne beaucoup de chose : le prix de vente, la présentation, le circuit de distribution etc…
Puisque l’on parle de conserves, il me parait évident de m’adresser plutôt à une clientèle citadine parce que les ruraux, ils ont leur jardin et ils se font leurs propres conserves…  Une clientèle citadine et bio, à le recherche de produit savoureux et originaux
Il faudra donc aller chercher la clientèle chez elle : à la ville mais aussi quand elle vient en vacances ici.

Investir ou pas ?
Quand il s’agit de transformation, les investissements ne sont pas négligeables :
•    Les outils de productions : serres, ruches, tracteur, etc…
•    Les outils de transformation : autoclave, extracteurs, labo de transformation, etc…
Afin d’éviter de s’endetter sur du long terme, le mot d'ordre sera : investissement pas trop lourd! Je pense donc « sous-traiter » ce qui pourra l’être et de louer au maximum, m’adresser à des CUMA etc…

Quel circuit de vente ?
Vente directe ou pas ? Il y a du pour et du contre…
•    Vendre a une plateforme d’achat par exemple permet d’écouler une plus grosse quantité mais il faut souvent payer des droits d’entrée, la marge de négociation est plus serrée, on est très dépendant d’un seul fournisseur…
•    Localement :
Les marchés ne sont pas des lieux pour vendre des bocaux…
Après réflexion je pense que ce sera : marchés de producteurs estivaux pour vente de légumes frais et bocaux à destination des touristes (principaux clients de ce genre de marchés), foires bio régionales, un peu de vente par internet ou commande et à la maison pour ceux qui le souhaitent, mais aussi les épiceries fines et autres magasins de producteurs locaux qui voudront bien.
•    Pour la clientèle des villes, nous avons commencé à démarcher les magasins bio (surtout ma compagne, car elle est mon côté commercial) dans le but de comprendre leurs fonctionnements, leurs marges, leurs clientèles et leurs attentes.